C.d.Ligue....O.L - P.S.G.

26-10-2006 à 10:46:08
equipe titulaire P.S.G. :
alonzo.drame.yepes.armand.p.cesar.mulumbu.chantome.rodriguez.kalou.cisse.pancrate.

remplaçants :
landreau.pauleta.hellbuyck.diane.rothen.rozenhal.traore.

????je doute que l'on gagne avec cette équipe...
mais j'ai espoir
  • Liens sponsorisés



26-10-2006 à 07:50:34
Très bon match... mais bon c'est gaché par la défaite... ils auraient du être plus sérieux en fin de match...
26-10-2006 à 10:46:08


oui de vrai guerriers (je regrette meme les changements tellement mulumbu et rodriguez avait la gnac)..mais en 2 minutes tout etait fini ..moi j'ai l'impression qu'1 certaine chance a disparue à Paris ( 1 but de wiltord hors jeu...)...maintenant place au championnat...

compte rendu du match :

Paris SG expérimental.... le début de rencontre ne donnait pas lieu à un siège lyonnais dans le camp parisien, du moins passées les toutes premières minutes. Wiltord était néanmoins le premier à se montrer dangereux, d’un tir croisé à vingt mètres de peu à côté (5e). Paulo Cesar, matérialisant le jeu sans complexes des Parisiens, répliquait quelques minutes plus tard d’une frappe croisée frôlant la barre de Vercoutre (12e). Les deux formations, bien regroupées défensivement, ne laissaient que très peu d’espaces et, presque logiquement, il fallait s’en remettre aux coups de pied arrêtés pour voir les deux gardiens sollicités. Paulo Cesar, tout d’abord, obligeait, d’un centre-tir vicieux sur coup franc, Vercoutre à une parade difficile (11e). Wiltord, ensuite, permettait à Alonzo de s’illustrer par une frappe enroulée (19e), avant que Kallstrom ne soit à un cheveu de trouver la lucarne d’un Alonzo absent sur le coup (22e). Entre temps, Tiago, à vingt mètres, avait obligé le portier parisien à une formidable envolée d’un tir puissant (13e). Le dernier quart d’heure de cette première période donnait lieu à une belle domination lyonnaise mais ni Kallstrom, d’une tentative croisée renvoyée par l’ancien gardien de Saint-Etienne (27e), ni Govou, d’une frappe obligeant Cissé à suppléer un Alonzo battu sur l’affaire (40e), ne parvenaient à trouver la faille. L’arbitre renvoyait donc les deux équipes aux vestiaires sur ce score de parité, résultat d’une belle combativité parisienne et d’un léger manque de motivation des hommes de Gérard Houllier.


Au retour de la pause, les Parisiens, décidément déconcertants d’audace, se montraient particulièrement pressants sur la cage de Vercoutre. Diané, après avoir pris Cris de vitesse, obligeait le remplaçant de Grégory Coupet à une belle manchette d’un tir à mi-hauteur (49e). Les Lyonnais avaient beau répliquer, quelques minutes plus tard, par l’intermédiaire de Kallstrom puis Wiltord de peu au-dessus (51e), les Parisiens étaient bel et bien les plus dangereux. Pancrate, tout d’abord, après un grand pont sur Cris (!), oubliait Diané dans l’axe et frappait directement sur Vercoutre (52e). Peu après, Chantôme, d’un tacle, parvenait à placer un tir croisé que le portier lyonnais captait bien (56e). La rencontre allait réellement basculer sur l’action suivante. Cristian Rodriguez, alerté dans la profondeur, filait défier Vercoutre. Son remarquable crochet à l’entrée de la surface obligeait le gardien des Gones à la faute, et M. Bré désignait donc le point de penalty. Paulo Cesar se chargeait d’exécuter la sentence, en plaçant le ballon dans le petit filet (0-1, 58e). Les Lyonnais, réveillés par ce but complètement mérité, acculaient par la suite les hommes de Guy Lacombe dans leur camp, mais, malgré l’entrée du jeune Remy et Benzema, peinaient à inquiéter Alonzo. Il fallait attendre les dernières minutes de la rencontre pour voir une déferlante d’occasions lyonnaises. Benzema, tout d’abord, obligeait Alonzo à une formidable horizontale sur une frappe au point de penalty (86e), avant que Squillaci, sur corner, ne loupe le cadre d’un rien (87e). Les Gones semblaient avoir laissé passer leur chance mais, dans la minute suivante, Tiago servait parfaitement Wiltord, qui pouvait battre Alonzo d’une belle balle piquée (1-1, 88e). L’euphorie qui s’emparait du Stade Gerland connaissait son paroxysme quant, à l’entrée des arrêts de jeu, Remy, à la suite d’un centre de Réveillère, remisait le ballon de la tête pour Wiltord, qui, de près, donnait la victoire aux siens (2-1, 90e).
  • Liens sponsorisés